La Galette

8th wonder • the sugarhill gang

8th wonder • the sugarhill gang
8th wonder • the sugarhill gang
Une perle parmi les perles du HipHop oldschool, jamais vu en brocante auparavant, acheté 2€ je l'aurais pris a 5/6€ c'est une référence du genre dans la ligné de leur tube interplanétaire Rapper's delight, les 7 tracks de cet album s'enchaînent avec une logique évidente, j'ai mon jogging qui pousse et je break des épaules. Mention spéciale à 8th wonder et son fat boys clap your hands qui est devenu culte pour tous les MCs (soit dit en passant je me marre bien en écoutant Grand corps malade quand j'écoute Big Bank Hank, Master Gee et Wonder Mike)

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461 ocean boulevard

clapton 461 ocean boulevard
j'ai presque honte de dire que je découvre cet album seulement maintenant mais j'avais de gros à priori sur Clapton. Et bien c'est fait je m'en colle plein les esgourdilles comme dirait le célèbre philosophe de la fin du XXe, pierre perret. En quelques mots, c'est un puta*n d'album comme je les aime. Des instrus calés au mm avec un feeling juste assez blues voir carrément nègre! celui qui ne tapote pas du pied en entendant Willie and the Hand Jive (Otis) ou I can't hold out n'est pas humain, allé je me permet même un petit frisson sur le chorus au bottle neck. Je n'oublie pas la petite reprise de Bob Marley I shot the sheriff!
un petit bémol sur la face B qui s'offre un peu trop de balade… mais ça ne dure qu'un temps et c'est reparti avec le très funk (un petit riff a la Beck Bogert & Appice) steady rollin' man et pour conclure le fabuleux Mainline florida qui aurait pu être chanté pas janis Joplin non?

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Larry Coryell at the Village gate

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Supersilent ist ein UFO!


Quand on m'a prété ce disque, on m'a conseillé de le lire à voix basse. C'est noté l'absurdité qui rend compte la puissance de cette formation jazz.

Quand on m'a prété ce disque, on m'a plutôt conseillé de l'écouter au casque: deux solutions, crise cardiaque ou sensation de se faire épiler l'interieur d'une narine à la cire chaude. c'est vous dire les sensation que l'on éprouve!

à mi chemin entre Aphex twin, Africa bambaataa la tête en bas sous amphétamine, le Plunderphonic de John Oswald's?
un peu de surréalisme, beaucoup de William S Burroughs, ce disque ist ein Ufo: Ubuesque formation Overhead
si vous passez le cap du premier album, laissez-vous tenter par les 5 autres, après, ce n'est plus pareil.
i love the percussive 3.2 on the third album!!! what a fucking bastard drum humachine!
www.supersilence.net

News From The Jungle - Jef Lee Johnson - Sonny Thompson - Michael Bland


Par l'intermédiaire d'un ami, je viens de découvrir Jef Lee Johnson - Sonny Thompson - Michael Bland, l'album News From The Jungle
c'est une sensation étrange et agréable, une fusion jazz-rock-funk, une légère dominante de percussion subtile et franche, et juste ce qu'il faut de guitare parfois irritante souvent acidulée, basse lourde et sournoise, nappes comme des rouleaux sur une plage d'oléron, une voix posée et inspirée…
du poil a gratter pour certain, de la ouate pour d'autre, cet album est mon album du mois!
ça renifle le Prince's New Power Generation à plein nez…!
Michael Bland drums
Sonny Thompson bass
Jef Lee Johnson guitar, vocal

Birth Control - Hoodoo Man

LP HOODOO MAN
ça fait 3 fois en 2 jours que j'écoute Birth Control - Hoodoo Man, impossible de partager un extrait car c'est en vinyle… C'est un album "concept" 6 titres assez jazz, rock, expérimental parfois et vraiment original. C'est allemand, sorti en 72 sur CBS. Le design de la pochette par Heinz Dofflein ne gache rien, loin de là!
Encore un ovni dans ma discothèque!
the band is still touring and recording.
extrait vidéo

Mingus mingus mingus mingus mingus



J'ai découvert Charles Mingus gràce a b qui laisse toujours trainer ses 33 tours, je m'écoute actuellement l'album Mingus mingus mingus mingus mingus qui commence par un riff? de basse! enregistré à NY en 1963 et diffusé par Impulse!.

La fureur et le tourment ont été les marques de la vie personnelle de Charles Mingus et cette empreinte affecte notablement sa musique, aussi bien dans l'écriture que dans l'interprétation. Enregistré en 1963, cet album constitue comme beaucoup d'autres la démonstration de la rage de Mingus et en même temps son extraordinaire façon de la transcender musicalement. Son omniprésence sur cette basse volontiers agressive pour relancer une section de cuivres des plus acharnées sur des thèmes du leader n'oblitère en rien la beauté intrinsèque des compositions. Le profond travail dans l'interprétation des sections, aussi bien des saxophones que des cuivres, rend compte de l'attachement de Mingus pour une musique expressivement démesurée, et en même temps un profond respect pour la musique de son peuple. Ainsi l'interprétation presque religieuse du "Mood Indigo" d'Ellington. A entendre les unissons et la constante présence bassiste aligner les morceaux avec fougue et volubilité, on comprend l'aura qui permettait à Mingus de s'attacher ses musiciens qui lui seront presque indéfectibles et que l'on retrouve avec bonheur sur cet enregistrement tout dévoué à la sonorité de son inspirateur. Déjà, le titre est tout un programme.
Jean-Michel Schlosser

Black night de Deep Purple

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Bare faced cheek des Toy dolls

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girls next door - The Slits


Je me suis fait un petit plaisir hier, j'ai acheté (en double) le 33 tours "girls next door" de The Slits, sampler des BBC recordings de 1977 à 1981, ça tourne en ce moment sur ma platine. C'est amusant de voir que Neneh cherry fait les choeurs sur certain track et que Steve Beresford est au clavier!?

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The Madcap Laughs de Syd Barrett

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Ma Kelly's Greasy Spoon ? Status Quo


Ma Kelly's Greasy Spoon ? Status Quo

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