La Galette

Rita Mitsouko - Minuit Dansant


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Lewis furey du nord

Bonjour, allé, je vais vous faire découvrir Lewis furey • The humours of Lewis furey

1976 A&M record inc • AMLH 64594 BIEM/STEMRA
Face A
  1. cop's ballet
  2. Rubber gun show
  3. Top ten sexes
  4. Lullaby
  5. Clarabelle's lament
  6. Poetic young man
face B
  1. Casting for love
  2. Lucky guy
  3. Romance
  4. Who got the bag
  5. Haunted
  6. Legacy
  7. Reprise : Cop's ballet
produit par Roy Thomas Baker (qui a produit queen, the cars, devo, et plus recemment The Darknesset The Smashing Pumpkins en 2007)

face A
ça commence comme un tango nommé cop's ballet et ça enchaîne sur un morceau pop bowiesque qui flirte avec le jazz, une voix limite ian dury ou joe strummer, des petits cœur qui débouchent sur un petit heavy-glam break, ça fleur bon les 70's, ça tombe bien on est en 76 et on écoute Rubber gun show…
piste 3, pas de blanc on enchaîne on est dans le 16 beat avec ce titre top ten sexes, le charlest flirte avec le disco mais heureusement que la voix reste punk rock par contre, le batteur est vraiment pote avec cerrone, ra les violons, ça y est on est dans un disco hybride
4e, des clochette, mike oldfield + cerrone? arf c'est le slow de l'album, bon, on a encore la voix qui fredonne lullaby, rien de terrible mais ça passerai entre un velvet et un mauvais bowie (si si il y en a, quand il mettait des bretelles avec son pantalon à pinces)

ça me laisse un peu de temps pour vous dire que Furey (né Greenblatt), Lewis est un compositeur, chanteur, pianiste, violoniste, comédien (Montréal, de parents français et américains, 7 juin 1949). Après avoir étudié le violon en cours particuliers, Lewis Furey fait ses débuts avec l'Orchestre symphonique de Montréal à 11 ans comme soliste lors d'un concert des Matinées pour la jeunesse. Il étudie ensuite au Conservatoire de musique du Québec à Montréal avec Calvin Sieb (1961-1965) et à la Juilliard School de New York avec Ivan Galamian (1964-1967). En 1974, il se tourne vers la musique pop et devient compositeur et chanteur (en anglais). Il enregistre trois 33 tours : Lewis Furey (1974, A & M 4522), The Humours of Lewis Furey (1976, A & M 4594) et The Sky is Falling (1978, Aquarius AQR-521). Selon Christian Gros, sa musique se caractérise par « une voix à la fois froide et passionnée, un humour acide, des arrangements somptueux, des climats à mi-chemin entre Kurt Weill et Lou Reed ».*

petit piano, c'est le début de la prochaine "clarabelle's lament" et là on entre dans le vif du sujet, on se croirait dans phantom of the paradise, j'adore je hoche la tête, c'est bien des lamentations, et de la fureur, de la colère dans la voix une orchestration grandiose a vous faire aimer les jean slim et les paillettes, pourquoi j'ai pas eu 30 ans en 76? pourquoi je suis pas une rockstar avec des vraies étoile et du pento dans mes cheveux long?
pourquoi je ne suis pas sur scène avec un lespaul taillée à ma main et peinte avec du sang de porc? (le chorus soit disant avec une disto bien huilée sur la contre voix de lewis clôt superbement bien le morceau…
qui enchaîne sur le dernier inouïede la face A, c'est un concept album, une comédie musicale glam rock sans images, c'est d'un violence inouïe et il place même un banjo (pour domy?) les cœur ne sont plus gluants et mièvre mais bien sanglants et on est dans une cave d'un hôtel de passe ou les voûte seraient tapissée de velours. Le banjo, il fallait oser mais c'est génial!, les gamme de voix et de piano qui rivalisent, quel pied! ce morceau poetic young man est génial, le batteur a repris le sens de la marche et joue de la cymbale comme un chef, ça sent la fin, tout s'accélère comme un break ou le diable (avec des talons haut et des bas résille) entrerait en scène avec un god ceinture sur la tête, (le piano est proche d'higelin en fait avec de la puissance et bcp de vie) waou, je vais chercher mon rasoir et changer de face.
c'est parti

face B
piano et charlest, ça me plaît
on est sur un chemin de pierre et on marche avec un perfecto et une balto dans la bouche il fait beau et les cœur font des wouwou tout autour de vous, toutes les filles (ou les hommes) semble vous désirer mais ça y est, vous appartenez au diable et plus rien ne vous empêche de vous moquer des beatles (qui pouratnt sont bien présent dans ce morceau) la voix est toujours aussi terrible, il a de la rage… on retombe un peu mais heureusement car la fin de l'autre face est vraiment forte.
track 2, les violons caressent nos oreilles et on s'attend a entendre une petite chanson douce et là c'est du strummer un peu popy on aurais tendance a sauter sur du 80bpm mais c'est d'un pied sur l'autre, on oublie la tecktonik mais ça monte en puissance et tout le monde s'y met, basse guitare descente de tomes ouuu ouuuuu le morceau s'appelle Lucky guy et tout à fait ça, l'argent coule à flot, le ciel est bleu et il y a même du synthé psychédélique sous les cœur (homme cette fois) on attend de voir apparaître les beach boys, du saxo maintenant, je reste coi heureusement c'est la fin car je me demande ce qu'il aurait pu se passer
alors là on est entre des cuivres dans une ambiance "champagne" grosse basse batterie que nous font marcher au pas "romance" est terrible, c'est entraînant! si tu tape pas du pied, t'es mort… mandoline! il sors avec un magasin d'instrument lui…
il y a encore de l'orage dans sa voix et les violon violent nous rappelle qu'on est pas là pour rigoler quand même
oulà shaft! who got the bag, roulement de charlest, wah wah cry baby et orgue hammond out le monde est heureux sur cet hymne au sac à main, passons, cerrone est revenu mais quel album étrange! allé plus que 2 titre et une reprise du 2eme (corps ballet) la j'en peux plus de ce morceau c'est trop disco mais merde!!!
on retrouve notre piano grave et une intro à la "autorisation de délirer" étrange, le morceau se nomme Haunted et il y a des castagnettes, un coté grandiose et triste, tom york sors de ce corps! brrrr
legacy est introduit pas une grosse caisse lourde (aussi lourde que cerrone) et on sent bien qu'on va conclure là, qu'on va se réveiller et qu'on aura mouillé les draps, que le diable aime le disco et que le slim c'est pas si bien quand c'est porté tout les jours (dixit joey ramones) on est a bout, on n'en peut plus il est temps que ça se termine mais on a passé un bon moment quand même surtout pour la face A et la fin de la face B, pourquoi j'aime le glamrock moi? faut-il que j'accepte de mettre a jour cette garde robe qui est enfouie au fond e moi? pourquoi j'ai des frissons quand il y a une envolée lyrique? pourquoi j'adore le générique de champs Elysée?
le dernier morceau est terrible, reprise du 2e avec un son pourrave façon mange disque.

fin