Je, la musique et la lecture (de pages en vrai papier)

[Beverley]

en ce moment je lis ce roman:


une fiction ou le monde de Charles Manson et des Rolling Stones s'entrechoquent. N'y cherchez pas d'infos sur le groupe, l'auteu[img] dit bien que seul les personnages (comme le groupe) ainsi que certains faits (leur premiere tournée aux USA, la descente de flic chez Keith...) sont réel

...un bon divertissement[/img]
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Les belges ne sont pas cons, leurs politiciens par contre...

[ton1]

24,9 dans toutes les bonnes crèmeries (je parle pas de la keufna, qui ne mérite que du hotlinking pour manger leur BP )
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Gougueule niouze sucks - Rezo.net rocks

[Pink Frog]

Armé dune centaine de témoignages recueillis auprès de ceux qui ont fait lhistoire du Floyd, et ayant partagé son intimité, Mark Blake ne se contente pas ici de faire la lumière sur lune des plus novatrices et énigmatiques formations rock du siècle dernier.

http://www.editionstournon.fr/f/index.php?sp=liv&livre_id=116

Excellent
29
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De l'humaine condition on ne guérit pas. Nietzsche

[JeffreyLeePierre]

Alain Dister, Oh Hippie Days.

Bof.

Il raconte plus les filles qu'il a baisées que les musiques qu'il a écoutées.
Un peu ses tribulations, beaucoup ses états d'âme.

Un "Sur la route" du pauvre...
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[JeffreyLeePierre]

Greil Marcus - Like a Rolling Stone / Bob Dylan à la croisée des chemins

Très bof.

Amas de ratiocinations rassies.

A déconseiller à ceussent qui ne sont pas fans purs et durs.
Quand à ces derniers, ils n'apprendront pas grand chose. Juste une ou deux anecdotes rigolotes sur Bob Johnston et comment il a remplacé Tom Wilson au chevet des accouchements dylanesques.


NB: en revanche; le livre Mystery Train du même auteur est absolument indispensable
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[JeffreyLeePierre]

Remarquable.

Guralnick a réalisé des heures d'interviews, lu des tonnes de papier, pour essayer de reconstituer ce qu'a vécu Elvis.

Et c'est réussi : on se croirait témoin des sessions du Sun Recording Studio, suiveur des premiers cachetons dans le petit monde du showbiz country du Tennessee et des états alentours, et autant ahuri par Elvis et son entourage de la proportion qu'a pris tout cela dès que les grands network nationaux ont pris le relais.

A lire absolument, qu'on soit fan d'Elvis ou pas.
En écoutant, en plus des Sun Complete Sessions, ça :
http://www.youtube.com/watch?v=QXdL5QyQ_xQ
http://www.youtube.com/watch?v=JG0d1VqE8As
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[Philippe]

[ton1]

[Philippe]

[JeffreyLeePierre]

La suite du précédent, donc.
On va dire que c'est à conseiller aux fans. Pour les autres, ça risque de faire un peu indigestion de glauqueries.

Il reprend l'histoire au service militaire en Allemagne. Où Elvis découvre les amphés, d'autres musiques (plus élaborées, il apprend à chanter mieux, se préparant ainsi à It's Now or Never), Priscilla (elle a 14 ans !), et ... Paris. Deux séjours épiques dans les boîtes chaudes du Gross Paris.

On comprend quand même comment s'est réalisé le gâchis de talent que fut la suite. Le "Colonel" Parker, avec le plein assentiment d'Elvis, a orienté l'ensemble de son oeuvre sur un seul objectif : durer en faisant un maximum de fric.
D'où les films plus nazes les uns que les autres, enchaînés avec leurs bandes-son insipides. Et pire : interdiction absolue de fréquenter les studios au delà du minimum nécessaire pour respecter les engagements contractuels avec RCA (un album et un ou deux singles par an). Mais surtout pas plus, de façon à leur interdire de constituer un stock et d'être en position de mieux négocier les renouvellements de contrat.
Résultat : pendant que les rentrées enflent régulièrement, le King s'emm.. royalement, il en devient indifférent à la qualité de sa musique, il plonge dans les médicaments et le n'importe quoi.

Dans le genre n'importe quoi : il se choisit un coiffeur de stars comme maître à penser, lequel l'abreuve de livres pseudo-philo-religieux à partir desquels il va se constituer une sorte de syncrétisme personnel pour répondre à sa grande angoisse "métaphysique" : pourquoi je suis si doué, quelle est ma mission sur terre ?

Et les filles ? Ouille ouille ouille : du début à la fin, on frise le pathologique.

Le réveil de 1968 (le show TV NBC Special) et 1969 (From Elvis in Memphis, le premier show à Vegas) ne sera qu'un bref répit avant la descente finale des 70's : toujours plus de médicaments et d'indifférence à tout, dans un monde qui se rétrécit de plus en plus à ses chambres d'hôtel ou de Graceland. Jusqu'à la fin, provoquée prématurément par trop de médocs et trop peu de mouvements.
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
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[marcant]

Lock groove comix , T1 , de JC Menu.

Du bon, très bon, à 5,70.Un comic (?) français à base de vinyles .

[Philippe]

"Voir Trench Town et mourir" d'Hélène Lee.
Ce n'est pas un roman. C'est un reportage, plutôt bien fait. Le sous-titre va ravir ceux qui ont un T-shirt de Bob: "les années Bob Marley" parce qu'effectivement la dame parle de Bob, comme une fan. Mais c'est subtilement noyé dans le reste du reportage, ça m'a souvent laissé l'impression que la dame reparlait de Bob pour pas nous faire oublier le sous-titre.

Le vrai sujet c'est Trench Town, la construction et l'évolution de ce quartier (de Kingston en Jamaïque pour vous éviter de chercher dans Wikipedia ) dans l'environnement social et politique de chaque époque, l'impact de cette évolution sur la musique et les chansons.
Attention, ce n'est pas un pseudo guide du routard, au contraire ça peut décourager d'aller y faire des photos d'autochtones. Et puis il n'y a pas un seul chapitre sur le rhum.

En conclusion, bien que n'ayant pas de T-shirt de Bob Marley, je me suis bien régalé.

Philippe
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Trombone, eaux, vins, spiritueux ...

[JeffreyLeePierre]

Celui-là, qu'on aime ou qu'on n'aime pas les Beatles, il faut le lire :


Geoff Emerick - En studio avec les Beatles, chez Le Mot et le Reste.

L'éditeur qui monte (cf mes posts précédents sur deux livres consacrés aux Stones) sort l'autobiographie de l'ingénieur du son des Beatles sur les 4 albums figurant en couverture.

L'ingé-son, c'est celui qui s'occupait du son : positionnement des micros, réglages de console... pendant que le producteur Georges Martin conseillait (ou écrivait) les arrangements.

Et on apprend chanson par chanson les petits trucs qui ont fait leur son. Y compris les accidents, comme par exemple la sonnerie de réveil au milieu de A Day In The Life. Je n'en dit pas plus.

Le truc en plus, c'est de découvrir dans quel univers vieillot et étriqué (l'ambiance du studio EMI Abbey Road) ont été pondues ces merveilles.
Le truc en moins, c'est le côté "on a tout inventé à la pointe de la techno d'enregistrement pop". Comme si rien n'existait à la même époque dans les studios de l'autre côté de l'Atlantique.

Mais c'est un livre à nuit blanche : une fois entamé, impossible de décrocher.
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[Bryan]

Bootleg - Les flibustiers du disque de Alain Gaschet



http://www.amazon.fr/Bootleg-flibustiers-disque-Alain-Gaschet/dp/2916546499
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Seul le Rock'n'Roll nous sauvera !

[Philippe]