Les inserts...

[JeffreyLeePierre]

Même genre dans un double d'outtakes New Rose de Bruce Joyner. Et il n'y a même pas les paroles, juste des crédits et quelque photos :


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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[Grognon]

[JeffreyLeePierre]

Moins courant : les tablatures !

C'est bien sûr le Marcel Dadi à Nashville. Et son livret de 16 pages.





J'ai même pas essayé de les jouer : rien qu'en l'écoutant, j'ai compris que c'était trop calé pour moi
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[JeffreyLeePierre]

[JeffreyLeePierre]

Autre luxueux livret de 16 pages, dans le Bob Dylan At Budokan :



Ce sont les paroles et des photos noir et blanc, qui viennent compléter celles du gatefold.



Mais la moitié des pages, ce sont les paroles traduites en japonais :



D'ailleurs, faut pas être cardiaque en l'ouvrant pour la première fois : la première double page du livret est tout en japonais, avec le track listing, et un texte introductif qui doit raconter de bien belle choses. C'est seulement en tournant la page qu'on trouve les paroles dans une graphies compréhensible.
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[JeffreyLeePierre]

Sinon, toujours dans les Dylan, CBS avait l'obligeance d'ajouter une feuille avec les paroles. Je me demande si elles étaient dans les pressages américains ou anglais ?

Desire :



Street Legal :



Infidels :



(mais dans Oh Mercy, celui d'après, j'en ai pas eues )
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[JeffreyLeePierre]

Un truc auquel Dylan n'a pas eu droit, c'est la traduction des paroles.

Premier exemple de victimes de la chose, les Rolling Stones et Tattoo You :



Et pour faire mieux juger l'outrage, un petit extrait :



Dit comme ça, c'est tout de suite mieux
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
Et pourtant, j'ai réussi à amasser Ma collection sur discogs.

[JeffreyLeePierre]

Dans le genre, j'ai aussi le New York de Lou Reed.



En haut à droite, c'est la pochette intérieure avec les paroles en anglais. En dessous, 4 pages de traductions, 1 par langue : Français, Italien, Espagnol et Allemand.

Italien ? Ah ben non :





NB : je ne sais pas pourquoi, je l'ai en double cet insert. Si ça intéresse quelqu'un...
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[JeffreyLeePierre]

Les paroles toujours, pour le vrai/faux double Champagne pour tout le monde... / Caviar pour les autres de Jacques Higelin.



En regardant de près, on s'aperçoit que le verre du gatefold de Champagne... est détachable.

Dans Champagne... il y avait aussi les paroles de Caviar, d'où le double feuillet bleu (en haut).
J'ai eu aussi un seul feuillet avec Caviar (acheté en broc très longtemps après). Je ne sais pas si c'est d'origine, ou si c'est le propriétaire précédent qui les avait découpés.
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[JeffreyLeePierre]

Toujours Higelin, peu avant avec No Man's Land.



C'est ce qu'on appelle une gueule au couteau.


Pas les paroles ici, mais un texte poétique qui introduit les différentes chansons.


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[JeffreyLeePierre]

Autre allumé de la même époque, Hubert-Félix Thiefaine.



Insert en double feuillet, avec un beau dessin, ça doit être ses potes et les musiciens.



Et puis une jolie cochonnerie de l'autre côté :



Mignon, non ?
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[JeffreyLeePierre]

On change de genre avec ce bel insert en couleur de Jam :



Et verso :


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[JeffreyLeePierre]

Pour Radio Ethiopia, Patti Smith s'est fendue d'un long poème en prose, qui fait l'objet du double feuillet joint.



(la photo avec "Anarchie" a été prise par Lizzy Mercier, la chanteuse belge)




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[JeffreyLeePierre]

Pour ses copains de Television, classique insert avec les paroles de l'album Marquee Moon :



Et de l'autre côté, une photo de Mr. Robert Mapplethorpe :



J'ai regardé cette photo pendant des plombes : les cernes de Tom Verlaine, les jeux de regards entre les musiciens. On a l'impression d'être là pendant les répétitions de mise au point de Marque Moon (la chanson) où ils rentrent les uns après les autres sur des boucles qui s'enchâssent progressivement pour générer ce swing si particulier.

A cette époque, on n'avait pas Google image pour trouver des centaines de photos. Et je viens d'y voir que sur la pochette du 45T Prove It, cette photo est en couleur
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Le dimanche matin, je chine pas, je dors.
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[JeffreyLeePierre]

Autre insert avec une chouette photo, sur No More Heroes des Stranglers.



Je vous la remets en plus grand :



De l'autre côté, ce goût si... hum... particulier des hommes en noir :


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